Route pour Leh (ou plutot air pour Leh)

Réveille vers les 6h30, je remballe les affaires de manouche et peut aller au comptoir pour m'enregistrer. L'avion décolle à 8h40.
Maintenant, c'est mon voyage, je ne suis plus dans l'organisation que m'a proposé mon pote (et qui était très bien). Je pars donc pour Leh qui se trouve dans le Nord de l'Inde à une altitude de 3500m. J'y serai bien allé en bus, mais ce coin de l'Inde est inaccessible pendant 8 mois de l'année à cause de l'état des routes et des conditions climatiques. Je n'aurai pas du tout pensé aller à cet endroit, mais cherchant des aides à faire pour l'ADUJ (association que j'ai créé afin d'aider des personnes que je croiserai pendant mon voyage, vous aurez plus de renseignements sur le blog de l'association http://assoaduj.blogspot.com/), j'avais eu écho en Mongolie qu'il y avait eu une catastrophe naturelle à cet endroit. Après qu'une amie m'ait faite une recherche affinée sur ce qui s'était passé, j'avais donc décidé de venir ici dans le but de mon association.
Me voilà donc à Leh vers les 11h après avoir fait un stop à Jammu pour y déposer et prendre d'autres personnes.
La personne m'ayant fait des recherches m'a aussi trouvé une association française basée sur Nantes qui à un contact direct (Namgyal) ici. Avant mon arrivée ici, j'ai donc pris contact avec cette personne qui est gracieusement venu me chercher à l'aéroport.
Leh, l'hiver, c'est mort comme ville. Une très grande partie des guesthouses sont fermées, les propriétaires préférant se prélasser au soleil à Goa. En plus d'être venu me chercher, mon contact m'a aussi trouvé une guesthouse, le pied. Il m'y laisse donc. On discutera plus tard du coté associatif.
J'ai de la chance, c'est une bonne guesthouse bien accueillante.
Mais il fait bien frais dans la chambre. Quand je quitte la chambre, pour aller me balader en ville, il fait 1 degré dans la chambre (et mon thermomètre continuait à descendre). Là où je suis arrivé avec juste panta court, t-shirt et petite polaire, je repasse en mode hiver en mettant plusieurs couches.
Donc balade pépère en ville l'après midi.

De retour à la guesthouse le soir, je suis obligé de me coller au chauffage pour ne pas finir congelé. C'est un chauffage au gaz donc faut le couper pour aller dormir, faudrait pas que j'ai une intoxication non plus.

PS : Aujourd'hui, j'ai une impression bizarre d''être dans l'aéroport car c'est propre partout. Je suis comme dans un 4 étoiles

J`ai trouve un bno petit coin pour dormir