Après avoir trouvé une auberge, je décide de me poser un peu et de mettre un peu à jour ce blog. Je profite aussi d'être sur UB pour récupérer ma prolongation de visa qui a été acceptée, je peux donc rester ici jusqu'au 4 nov, mon dernier jour d'entrée en Chine étant le 5 novembre.
Je fais aussi quelques courses car demain je pars en rando pour 2 jours.
Soir restau avec un français et fin de soirée à l'auberge de jeunesse avec canadien, belge, israélien, argentin.
Je ne pensais pas la trouver ici
jeudi 30 septembre 2010
mercredi 29 septembre 2010
Journée d'un mongol
Hier, j'ai décidé de ne pas rester ici. Car certes, le train est dans 5 jours (enfin 4 maintenant), mais il revient le lendemain, donc je ne pourrai pas le prendre et il me faudrait encore attendre 5 jours de plus pour revenir. Je repars donc sur la capitale. Voici donc le programme de la journée qu'un mongol peut avoir, on va l'appeler Galsan
6h30 : Galsan se lève.
7h : il arrive à la gare de bus. On lui annonce que le bus est complet.
7h10 : il se décide à prendre un minivan.
8h : le minivan n'est toujours pas complet (condition pour qu'il parte)
9h10 : ça commence à bouger, Galsan monte dans le minivan. En fait, le chauffeur va juste faire de l'essence.
9h20 : le minivan revient au parking.
9h40 : tout le monde est dans le minivan, ça va être bon. Il démarre, fait 20m et s'arrête devant les bureaux (qui gèrent les bus et minivans).
9h50 : le minivan redémarre, fait à nouveau 20m et s'arrête sur le parking.
10h : le minivan part enfin.
10h05 : le minivan s'arrête devant une banque pendant 10 min.
10h15 : le minivan part direction Oulan Bator.
10h25 : le minivan s'arrête devant le théâtre à la sortie de la ville. Une voiture a rattrapé le minivan et l'a fait arrêter.
11h15 : une autre personne est arrivée (c'est pour ça que le minivan attendait et s'est fait arrêter)
14h : Le minivan s'arrête, Galsan va pouvoir se remplir la pense.
15h : le minivan repart.
16h : le minivan est arrêté, il y a un contrôle. Tout le monde est invité à descendre du minivan et ouvrir ses bagages (sauf le touriste qui est avec Galsan). Tout le monde est convié à passer dans un trou dans lequel il y a de la chaux puis à aller dans une grande tente dans laquelle toutes les personnes du minivan doivent retirer leurs vêtements de couche supérieure. Galsan et ses compatriotes regardent le touriste, il est le seul à être en boxer et donc à avoir les jambes nues. Galsan, comme les autres mongoles portent un collant-pyjama afin de ne pas avoir froid.
16h40 : Galsan récupère ses vêtements qui ont été passés dans à la vapeur d'eau de javel (ou un truc comme ça)
16h50 : le convoi repart enfin
17h20 : un nouveau contrôle papier et bagage (encore une fois, le touriste n'a pas besoin de montrer les siennes). Galsan est en règle, il semblerait que le chauffeur un peu moins.
18h : encore une fois, c'est reparti
18h40 : on change de chauffeur.
20h30 : Galsan voit les lumières de la ville
20h50 : Le minivan arrive enfin en ville. A peine arrêter, les chauffeurs changent rapidement de place (à l'intérieur même du minivan). Un flic vient contrôler le chauffeur. A croire le chauffeur numéro 2 n'est pas en règle????? On repart de suite.
21h10 : La piste est finie, on passe au bitume, on a donc fait environ la moitié du chemin.
21h35 : histoire de garder les bonnes habitudes, un contrôle de papier est fait sur le chauffeur.
22h15 : pour la 48ème fois (presque lol) de la journée, on repart.
23h45 : Le minivan s'arrête, cette fois, ce n'est pas un contrôle mais la pause diner. Galsan prend une « végetable soup ». Mais, ici, ce n'est pas végétarien, il y a aussi du mouton dedans.
00h45 : c'est reparti.
4h : le minivan s'arrête dans un endroit bizarre et frappe à une porte. Des colis sont déposés. Galsan a réussi à dormir environ 2h
4h15 : encore une fois, c'est reparti
4h30 : Galsan arrive à la gare de bus de Oulan Bator.
6h : après 1h30 de marche, Galsan arrive chez lui
PS : dans le minivan, un gars connaissait un mot français. Ce n'était pas oui, non, merci, bonjour, au revoir, c'était le mot voyage, étonnant quand même. Et après m'avoir dit ce mot, il m'a fait un voyage voyage de desireless, je suis sur le cul
Un petit basket?
Une petite faim?
Controle sanitaire
Controle de papier
6h30 : Galsan se lève.
7h : il arrive à la gare de bus. On lui annonce que le bus est complet.
7h10 : il se décide à prendre un minivan.
8h : le minivan n'est toujours pas complet (condition pour qu'il parte)
9h10 : ça commence à bouger, Galsan monte dans le minivan. En fait, le chauffeur va juste faire de l'essence.
9h20 : le minivan revient au parking.
9h40 : tout le monde est dans le minivan, ça va être bon. Il démarre, fait 20m et s'arrête devant les bureaux (qui gèrent les bus et minivans).
9h50 : le minivan redémarre, fait à nouveau 20m et s'arrête sur le parking.
10h : le minivan part enfin.
10h05 : le minivan s'arrête devant une banque pendant 10 min.
10h15 : le minivan part direction Oulan Bator.
10h25 : le minivan s'arrête devant le théâtre à la sortie de la ville. Une voiture a rattrapé le minivan et l'a fait arrêter.
11h15 : une autre personne est arrivée (c'est pour ça que le minivan attendait et s'est fait arrêter)
14h : Le minivan s'arrête, Galsan va pouvoir se remplir la pense.
15h : le minivan repart.
16h : le minivan est arrêté, il y a un contrôle. Tout le monde est invité à descendre du minivan et ouvrir ses bagages (sauf le touriste qui est avec Galsan). Tout le monde est convié à passer dans un trou dans lequel il y a de la chaux puis à aller dans une grande tente dans laquelle toutes les personnes du minivan doivent retirer leurs vêtements de couche supérieure. Galsan et ses compatriotes regardent le touriste, il est le seul à être en boxer et donc à avoir les jambes nues. Galsan, comme les autres mongoles portent un collant-pyjama afin de ne pas avoir froid.
16h40 : Galsan récupère ses vêtements qui ont été passés dans à la vapeur d'eau de javel (ou un truc comme ça)
16h50 : le convoi repart enfin
17h20 : un nouveau contrôle papier et bagage (encore une fois, le touriste n'a pas besoin de montrer les siennes). Galsan est en règle, il semblerait que le chauffeur un peu moins.
18h : encore une fois, c'est reparti
18h40 : on change de chauffeur.
20h30 : Galsan voit les lumières de la ville
20h50 : Le minivan arrive enfin en ville. A peine arrêter, les chauffeurs changent rapidement de place (à l'intérieur même du minivan). Un flic vient contrôler le chauffeur. A croire le chauffeur numéro 2 n'est pas en règle????? On repart de suite.
21h10 : La piste est finie, on passe au bitume, on a donc fait environ la moitié du chemin.
21h35 : histoire de garder les bonnes habitudes, un contrôle de papier est fait sur le chauffeur.
22h15 : pour la 48ème fois (presque lol) de la journée, on repart.
23h45 : Le minivan s'arrête, cette fois, ce n'est pas un contrôle mais la pause diner. Galsan prend une « végetable soup ». Mais, ici, ce n'est pas végétarien, il y a aussi du mouton dedans.
00h45 : c'est reparti.
4h : le minivan s'arrête dans un endroit bizarre et frappe à une porte. Des colis sont déposés. Galsan a réussi à dormir environ 2h
4h15 : encore une fois, c'est reparti
4h30 : Galsan arrive à la gare de bus de Oulan Bator.
6h : après 1h30 de marche, Galsan arrive chez lui
PS : dans le minivan, un gars connaissait un mot français. Ce n'était pas oui, non, merci, bonjour, au revoir, c'était le mot voyage, étonnant quand même. Et après m'avoir dit ce mot, il m'a fait un voyage voyage de desireless, je suis sur le cul
Un petit basket?
Une petite faim?
Controle sanitaire
Controle de papier
mardi 28 septembre 2010
Choibalsan
Je suis enfin à l'Est de la Mongolie. Mais je veux me rapprocher de la frontière russe, celle que je n'ai pas passé. Et oui, quand j'ai une idée en tête, j'y vais, lol. En fait, il y a un parc (Mongol Daguur) que j'avais repéré, c'est pour ça que je voulais passer par cette frontière et m'éviter ce grand détour.
Pour aller à cette frontière, je dois prendre un train et enfin j'y serai.... Après 1h30 de marche pour trouver cette gare paumée en dehors de la ville, il m'est impossible de me faire comprendre pour dire ce que veux. Je suis donc le gars à qui j'ai essayé de dire ce que je voulais, il m'emmène dans un hangar à 500m de la gare. C'est là, qu'il répare les locomotives. Pourquoi il m'emmène ici????? Tout simplement car il y a un gars qui parle anglais. C'est sûr, ça devient tout de suite plus facile. Résultat, je n'ai un train que dans 5 jours, ben super. Je crois que je vais encore changer mes plans. Pourtant, quand je vois la loco, je pense que ce voyage en train aurait été plaisant.
En dehors de cet échec, je reste 3/4 h au hangar car, du coup, tout le monde s'est arrêté de bosser pour venir me voir et parler avec « le blanc » grâce à notre traducteur. Après ces 3/4 h, le chef les rappelle à l'ordre pour bosser un peu. Ah, ces chefs.....
Sur la route du retour vers le centre ville (le retour étant plus rapide car je situe la gare et peu couper à travers champs, ce qui est évidemment très courant ici), je me fais alpaguer par 3 hommes assis près d'une cabane. Je m'assois avec eux, ils me proposent à manger et à boire, why not. Un quatrième nous rejoint mais il semble un peu plus louche car déjà un peu bourré. En plus de la nourriture, on m'offre aussi des osselets, chamanisme ou pas. Le dernier arrivé me demande si il peut prendre mon sac à dos et si il peut aller faire un tour de moto, mais bien sur.... l'espoir fait vivre.
Une fois finie cette petite pause, le gars bourré me propose de me déposer en ville avec sa moto. Je crois que je vais encore marcher, ce sera plus simple.
Une fois trouvé l’hôtel, je me balade encore un peu en ville où il n'y a rien à faire. Je tombe juste sur une mini plaza espanya à Barcelone avec une fontaine son et lumière.
PS : Il a fait 13 degré dans ma chambre cette nuit, j'ai fait dodo dans mon sac de couchage et sur mon matelas gonflable car j'étais presque comme sur planche.
Un peu de bricolage pour la tente
ça semble tenir, on verra par la suite
C'est aussi une route
Pour aller à cette frontière, je dois prendre un train et enfin j'y serai.... Après 1h30 de marche pour trouver cette gare paumée en dehors de la ville, il m'est impossible de me faire comprendre pour dire ce que veux. Je suis donc le gars à qui j'ai essayé de dire ce que je voulais, il m'emmène dans un hangar à 500m de la gare. C'est là, qu'il répare les locomotives. Pourquoi il m'emmène ici????? Tout simplement car il y a un gars qui parle anglais. C'est sûr, ça devient tout de suite plus facile. Résultat, je n'ai un train que dans 5 jours, ben super. Je crois que je vais encore changer mes plans. Pourtant, quand je vois la loco, je pense que ce voyage en train aurait été plaisant.
En dehors de cet échec, je reste 3/4 h au hangar car, du coup, tout le monde s'est arrêté de bosser pour venir me voir et parler avec « le blanc » grâce à notre traducteur. Après ces 3/4 h, le chef les rappelle à l'ordre pour bosser un peu. Ah, ces chefs.....
Sur la route du retour vers le centre ville (le retour étant plus rapide car je situe la gare et peu couper à travers champs, ce qui est évidemment très courant ici), je me fais alpaguer par 3 hommes assis près d'une cabane. Je m'assois avec eux, ils me proposent à manger et à boire, why not. Un quatrième nous rejoint mais il semble un peu plus louche car déjà un peu bourré. En plus de la nourriture, on m'offre aussi des osselets, chamanisme ou pas. Le dernier arrivé me demande si il peut prendre mon sac à dos et si il peut aller faire un tour de moto, mais bien sur.... l'espoir fait vivre.
Une fois finie cette petite pause, le gars bourré me propose de me déposer en ville avec sa moto. Je crois que je vais encore marcher, ce sera plus simple.
Une fois trouvé l’hôtel, je me balade encore un peu en ville où il n'y a rien à faire. Je tombe juste sur une mini plaza espanya à Barcelone avec une fontaine son et lumière.
PS : Il a fait 13 degré dans ma chambre cette nuit, j'ai fait dodo dans mon sac de couchage et sur mon matelas gonflable car j'étais presque comme sur planche.
Un peu de bricolage pour la tente
ça semble tenir, on verra par la suite
C'est aussi une route
lundi 27 septembre 2010
En route pour Choibalsan
Mon bus étant à 7h30, je me fais une bonne sortie de lit à 5h. Après avoir scotché un peu et m'être habillé, je peux me lancer dans mes 7 km de marche. Je peux vous dire qu'à 0°, ça réveille une marche comme ça.
Finalement, le temps que le bus se remplisse et qu'on entasse les affaires, on ne part qu'à 9h15, je sens qu'il ne va pas falloir être pressé ici. J'ai de la chance, je suis à coté d'un gars qui parle un peu anglais. Parce que je suis quand même parti pour 13h de bus, donc ça peut être pas mal.
Sur le coup des midi, petite pause bouffe. Et là est la grande question des voyages. Il me reste 10h de bus et je ne sais pas trop ce que je vais manger, comment vont réagir les intestins..... Je tente le coup, espérons que ça se passera bien.
350 km après le départ, finit la route, on passe à de la piste, ça secoue un peu plus.
A partir de 20h, le voyage commence vraiment à être long, je commence à fatiguer, il fait nuit... et pique quelques roupillons.
Arrivé à 22h30, mon voisin me trouve un hôtel à Choibalsan, soit disant pas cher. C'est correct mais le confort est rudimentaire, je ferai avec, la flemme de chercher autre chose.
PS : dans un film, j'avais, ils disaient une phrase du genre « quand tu vois un corbeau, une personne de ton entourage est morte ». Avec le nombre de corbeau que j'ai vu aujourd'hui, il semblerait que je n'ai plus d'entourage...
PS 2 : une chose m'a impressionné aujourd'hui dans le bus. En France, si tu rentres dans un bus où il y a 28 adultes et 7 enfants (de 6 mois à 5 ans) qui sont sur les genoux des parents et que tu sais que tu as 13h de transport dont la moitié de piste, tu te dis que tu vas souffrir d'entendre toujours les enfants se plaindre. Et ben ici, je n'ai entendu que la petite fille qui a 6 mois chouiner pendant 15 min. Je suis impressionné par le calme de ces enfants. Est ce une histoire de culture, d'éducation????? Ils sont vraiment trop gâtés nos enfants.
Et si je jouais à cache cache avec la petite
Oh, les jolis toilettes
Quand on charge, on charge. Si tu veux sortir, faut escalader les sacs
Finalement, le temps que le bus se remplisse et qu'on entasse les affaires, on ne part qu'à 9h15, je sens qu'il ne va pas falloir être pressé ici. J'ai de la chance, je suis à coté d'un gars qui parle un peu anglais. Parce que je suis quand même parti pour 13h de bus, donc ça peut être pas mal.
Sur le coup des midi, petite pause bouffe. Et là est la grande question des voyages. Il me reste 10h de bus et je ne sais pas trop ce que je vais manger, comment vont réagir les intestins..... Je tente le coup, espérons que ça se passera bien.
350 km après le départ, finit la route, on passe à de la piste, ça secoue un peu plus.
A partir de 20h, le voyage commence vraiment à être long, je commence à fatiguer, il fait nuit... et pique quelques roupillons.
Arrivé à 22h30, mon voisin me trouve un hôtel à Choibalsan, soit disant pas cher. C'est correct mais le confort est rudimentaire, je ferai avec, la flemme de chercher autre chose.
PS : dans un film, j'avais, ils disaient une phrase du genre « quand tu vois un corbeau, une personne de ton entourage est morte ». Avec le nombre de corbeau que j'ai vu aujourd'hui, il semblerait que je n'ai plus d'entourage...
PS 2 : une chose m'a impressionné aujourd'hui dans le bus. En France, si tu rentres dans un bus où il y a 28 adultes et 7 enfants (de 6 mois à 5 ans) qui sont sur les genoux des parents et que tu sais que tu as 13h de transport dont la moitié de piste, tu te dis que tu vas souffrir d'entendre toujours les enfants se plaindre. Et ben ici, je n'ai entendu que la petite fille qui a 6 mois chouiner pendant 15 min. Je suis impressionné par le calme de ces enfants. Est ce une histoire de culture, d'éducation????? Ils sont vraiment trop gâtés nos enfants.
Et si je jouais à cache cache avec la petite
Oh, les jolis toilettes
Quand on charge, on charge. Si tu veux sortir, faut escalader les sacs
dimanche 26 septembre 2010
Oulan Bator 2
Lever 8h après une nuit pas terrible car pas mal de bruit dans l'auberge.
Je pars me balader dans la ville. Je passe devant les temples Bakula Rinpoche Süm et Gesar Süm avant de rejoindre Myama. qui doit m'emmener faire du cheval, mais en fait comme c'est trop loin et trop cher, je ne le fais pas. Résultat, je me balade seul dans la partie Nord de Oulan Bator. Ici, on est vraiment dans un autre monde, finit les constructions en béton, le bois et les yourtes sont dominantes. Ensuite, ayant du temps à perdre, je passe à la station de bus pour voir si il y en a demain pour Choibalsan (Est de la Mongolie) et pour voir où elle se trouve.
Quelques petits flocons dans la journée
1° à 23h
Je ne sais pas si il connaisse tous les joueurs de NBA, mais lui, il le connaisse (même si sa carrière est finie)
Je pars me balader dans la ville. Je passe devant les temples Bakula Rinpoche Süm et Gesar Süm avant de rejoindre Myama. qui doit m'emmener faire du cheval, mais en fait comme c'est trop loin et trop cher, je ne le fais pas. Résultat, je me balade seul dans la partie Nord de Oulan Bator. Ici, on est vraiment dans un autre monde, finit les constructions en béton, le bois et les yourtes sont dominantes. Ensuite, ayant du temps à perdre, je passe à la station de bus pour voir si il y en a demain pour Choibalsan (Est de la Mongolie) et pour voir où elle se trouve.
Quelques petits flocons dans la journée
1° à 23h
Je ne sais pas si il connaisse tous les joueurs de NBA, mais lui, il le connaisse (même si sa carrière est finie)
samedi 25 septembre 2010
Oulan Bator
Le matin, je passe au temple bouddhiste Gandhan Khiid
Myama passe me prendre à la sortie pour me conduire au marché noir (je ne vois pas pourquoi ils appellent ça le marché noir, c'est un marché comme les autres).
Ensuite, on bois un verre ensemble puis Myama m'emmène à un spectacle de danse mongole où il me laisse. Il me rejoint à nouveau à la fin du spectacle pour manger dans un truc barbecue, c'était sympa
Info du jour
Fait froid aujourd'hui, il a même neigé (comme une mini tempête) quand on était au marché.
C'est quand même étonnant ce temps. Hier, j'étais bien au soleil en t-shirt. Et aujourd'hui, j'ai le droit à de la neige.....
Oh, les jolis mariés
Myama passe me prendre à la sortie pour me conduire au marché noir (je ne vois pas pourquoi ils appellent ça le marché noir, c'est un marché comme les autres).
Ensuite, on bois un verre ensemble puis Myama m'emmène à un spectacle de danse mongole où il me laisse. Il me rejoint à nouveau à la fin du spectacle pour manger dans un truc barbecue, c'était sympa
Info du jour
Fait froid aujourd'hui, il a même neigé (comme une mini tempête) quand on était au marché.
C'est quand même étonnant ce temps. Hier, j'étais bien au soleil en t-shirt. Et aujourd'hui, j'ai le droit à de la neige.....
Oh, les jolis mariés
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