Arrivé à Nouachki, je veux prendre mon billet pour passer la frontière, on me dit qu'il n'y a pas de train aujourd'hui...... ça commence un peu à me gonfler tout ça, mon visa se termine dans 33 heures et je suis à une vingtaine de km de la frontière, RRRRhhhh. Après avoir pris ces renseignements, je vois en dehors de la gare pas mal de touristes, ce serait quand même bizarre qu'il y ait autant de gens qui fassent comme moi????? Après avoir discuté avec certains, ils sont bien dans un train qui va sur Oulan Bator, donc on m'aurait pipoté..... En fait, il n'y avait pas pipotage, c'est juste qu'il ne font traverser la frontière qu'à 1 wagon, ce qui ne fait pas grand monde... Et donc pour demain, je pourrai avoir un billet mais pas pour aujourd'hui car le wagon est complet, je comprends donc un peu mieux ma situation.
Ayant lu dans mon super guide qu'on pouvait s'arranger avec le provinist (personne qui s'occupe du wagon) pour prendre le wagon même si il est complet, je me lance dans la discussion. Résultat, après un petit bakchich (et oui, j'ai bakchiché, ce que je déteste mais là, il n'y avait pas d'autres moyens), j'ai mon train. Certes, j'aurai pu prendre le train de demain car il restait de la place, mais par rapport à mon visa, j'aurai été à 4h de l'expiration, ça me donnait pas trop envie de jouer avec le feu.
Du coup, je dors dans la même cabine que je le provinist.
Une fois passer la frontière, je fais connaissance avec Françoise, une française assez âgée. Et qu'est qu'elle a la Françoise dans son sac, du roquefort, trop bien ise. Bon, je n'ai que du vieux pain avec moi, mais on fera avec
Il faisait beau dans la journée. J'étais en T-shirt.
La plus grosse tête de Lénine au monde
La gare à la frontière
J'y arrive
jeudi 23 septembre 2010
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Ronan, le roi du bakchichage ;)
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