mardi 21 septembre 2010

Borzia et la réflexion

Après une nuit de merde où j'ai encore une fois pas trop dormi, je me renseigne sur les bus qui peuvent me mener à Solovevsk et donc à la frontière mongole. Le bus est à 16h, j'ai le temps de me balader un peu. Pour une ville morte, c'est bien mort. J'aurai juste vu mon 1er Lénine doré. Sinon, rien d'intéressant, j'essaie de passer le temps comme je peux.
16h, j'attends une heure, pas de bus, et en plus ça caille, c'est peut être aussi la fatigue car il fait 10° dehors mais c'est surtout qu'il y a un gros vent vraiment frais. Après tout, certaines personnes m'avaient dis qu'il n'y avait pas de bus ce matin, j'aurai peut être du les écouter.
Du coup, je ne vais pas prendre le risque d'y aller en taxi car c'est une frontière qui n'est qu'à moitié recensée. Du coté russe, il n'en parle pas trop alors qu'elle est plus connue du coté Mongol. Donc si je vais là-bas demain et que je me fais bouler, cela va être trop tendu pour revenir sur Tchita puis Oulan Oude pour prendre un train direction la Mongolie. J'ai pas trop envie de faire jou-jou avec l'administration russe donc je prends un train ce soir pour Tchita où il devrait me rester 66h pour rejoindre la frontière mongole
infos du jour
8h


11h30


16h
10°

toute la journée est agréable sauf qu'il y a un gros vent frais.




Lénine ou César




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